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Depuis la semaine dernière je rencontre activement les entreprises de la filière aéronautique, grands groupes français, mais aussi ETI et PME de la circonscription, afin de soutenir les plus fragiles.
Anticiper le contre-coup de la crise sur le tissu économique qui entoure les grands groupes français de l’aéronautique est une priorité. Même si ces derniers tiennent le choc, l’impact de la crise sur leurs partenaires n’est pas anodin. Chefs d’entreprises et syndicats tentent d’ores et déjà d’alerter les pouvoirs publics.
J’ai d’abord rencontré en tout premier lieu la DIRECCTE, afin de prendre connaissance des dispositifs d’aide prévus. Je poursuis par ailleurs ces rencontres avec les acteurs de la filière en circonscription, avec pour objectif d’établir un état des lieux précis de la situation et des actions engagées :
• J’ai rencontré le 17 juillet la direction de THALES.
• Ce matin, le vendredi 24 juillet, j’ai pu échanger avec des salariés d’AIR FRANCE.
• Cet après-midi j’ai eu une réunion de travail avec des ETI/PME du secteur, accompagnés de professionnels de la transformation (BPI Group).
• Mardi 28 juillet après-midi je rencontrerai la direction nationale d’AIR FRANCE.
Alors que des milliers d’emplois et le dynamisme de notre territoire sont en jeu, le soutien aux secteurs de l’aéronautique et de l’aérien doit être plein et entier. Au-delà de l’aide directe, la puissance publique doit continuer à accompagner les initiatives des acteurs eux-mêmes, en valorisant la solidarité intra-groupe, intra-filière mais aussi et surtout inter-filières, en ouvrant des perspectives sur d’autres industries présentes dans le département (énergies renouvelables, santé…).
En tant que député :
1. je m’attache à établir un cadre législatif pour rendre ces passerelles les plus efficaces possibles.
2. je soutiens les besoins des acteurs de la filière en matière d’apprentissage.
3. je reste attentif aux enjeux de souveraineté de la France en matière d’innovation.